HAPITR 3
Chers amis une bonne nouvelle!!
vous pouvez dés à présent vous procurer mon livre en ligne sur inter-net à mon adresse émail (claudette.reboul@aliceadsl.fr) payement par compte Paypal même adresse le prix du livre est de 18euros80 centimes frais d’expédition inclus
LA VIE DE TOUS LES JOURS
Les saisons et les années s’écoulaient lentement ponctuées par les travaux des champs avec leurs cortèges de récoltes détruites ou invendues ; par la perte d’un membre de la famille, d’un ami, d’un voisin. La maladie restait le pire fléau qui pouvait s’abattre sur nous. Les petits exploitants n’avaient pas les moyens de payer les cotisations de sécurité sociale, restait la solidarité envers les uns et les autres car nous étions tous très proches.
J’ai également gardé en mémoire les senteurs de ces vastes demeures paysannes où, dès le matin des odeurs de savon de Marseille et d’eau de Cologne se mêlaient à celle du café, du pain grillé et de la douceur d’un pot de confiture sur la table du petit déjeuné. Dans la journée,au fil des heures, les parfums d’ aulx, légumes et herbes aromatiques qui se noyaient dans la préparation de potages et des volailles rôties qui mijotaient tranquillement sur le coin d’un poêle, envahissaient toute la maison.
L’été il y avait toujours en attente sur les tables, des coupes garnies de fruits de saison avec des boissons tel que l’antésite, sirop de menthe et d’orgeat. Le réfrigérateur n’existait pas dans les campagnes et pour garder laitages, beurre et fromage au frais, il suffisait de les placer dans un seau en métal déposé délicatement sur la surface de l’eau tout au fond du puits ! Bien souvent les enfants se disputaient pour remonter ce garde-manger et faire grincer la carrelle qui entraînait la chaîne.
le gibier abondait dans la campagne ce qui permettait aux classes les plus démunies d’améliorer l’ordinaire en matière de repas. Dès les premiers jours d’ouverture de la chasse, les hommes de la famille rapportaient dans leur besace : lapins, perdrix, faisans etc. La cuisine se préparait avec les produits cultivés dans les champs et conservés été comme hiver dans une pièce orientée côté Nord à ouverture réduite commune à toutes les habitations que l’on nommait de différentes façons : le cellier, la gatouille, le cagibi, le membre et bien d’autres !!
Accrochés à des clous contre les murs, au fil des saisons, des bouquets de laurier, thym, sarriette, romarin, fenouil, marjolaine et tresses d’aulx. Sur les étagères, des courges muscades côtoyaient des jarres remplies de préparation à base d’olives ainsi que des bocaux de conserves stérilisées de coulis de tomates, haricots verts, fruits au sirop etc. Étaient également conservés dans de l’eau de vie : raisin blanc à gros grains, cerises et autres fruits. Alignées côte à côte des bouteilles de vin et d’alcool.
Sur le sol, des sacs de jute remplis de pommes de terre, des tonneaux de vin, dans des corbeilles d’osier des pommes de différentes qualités ainsi qu’oignons, jujubes, noix, amandes et kakis, ces derniers que l’on portaient à maturité au fur et à mesure des besoins sur le bord de la cheminée. Suspendus au plafond sur des poutres en bois, des fils de fer supportaient des grappes de raisins blanc et selon les saisons de la charcuterie : saucissons et jambons. Les œufs étaient conservés dans des récipients en métal remplis de cendres de bois. Il y avait dans ces réserves de quoi préparer des repas parfumés et succulents à peu de frais.
La cendre de bois servait également de lessive pour le linge une fois par semaine que l’on faisait bouillir dans une grande lessiveuse en métal l’odeur du linge était très agréable.
La courge (huile sur toile 2002) par C.L.
j’ai découvert une faille dans la distribution de médicament qui est probablement organiser par les laboratoires probablement organiser par les laboratoires pharmacetique
16 Avr 2014 Poster un commentaire
par passionprovencepeinture dans commentaires
Mon mari étant atteint de la maladie de Parkinson depuis plusieurs années les ordonnances sont à renouveler plusieurs fois, dernièrement il manquait un médicament le mantadix qui réduit considérablement les disleskies aprés renseignement auprès du laboratoire il est en rupture de stok et il n’y a pas de générique ni autre médicament qui pourrais le remplacer. J’ai fait des recherches sur internet et j’en trouve a 38 euros le flacon de 30 gélules au lieu de 5 euros 50 en pharmacie !!
OU EST l’erreur?
et bien les laboratoires ne les distribuent plus en pharmacie mais préfèrent les vendre sur des sites ce qui leurs permet de faire 10 fois plus de bénéfice au détriments des malades car ils savent très bien qu’ils ne pourront pas s’en procurer ailleurs !!
tous des pourris!!
Partager :