saint-rémy de provence de notre enfance

saint-remy de provence de notre enfance est un receuil de souvenirs  en hommage au monde paysan qui m’a appris à regarder, respecter et aimer la nature.Achevé d’imprimer le 30 mars 1995  en france .Dépot légal AVRIL 1995 .TOUS DROITS DE  REPRODUCTION RESERVES POUR TOUS PAYS  a la lecture   de ces récits,relatant mes souvenirs d’enfance et d’adolescente, vous découvrirez toute une génération(1941-1959) qui eut le privilège de faire un bout  de chemin avec nos anciens. Les conditions de vie à cette époque, ont complètement disparu.les dernières mémoires s’en vont peu à peu ,emportant avec elles, les souvenirs de ces moments de joies et de peine.Hommes et femmes, qui à force  de courage, de souffrance et de passion, ont fait de cette terre un pays qui leur ressemble.Utilisant à leur profit la nature,sans jamais la détruire  Nous laissant en héritage le devoir de la préserver contre toute agréssion sauvage,dont seuls les hommes ignorants de sa beauté pourraient détruire à jamais. Ils ont inscrit dans notre mémoire un monde de souvenirsdont nous sommes les derniers témoins.A travers la petite fille , et fille de paysants  que j’étais, et que je resterai toujours au fond de moi, vous découvrirez au fil de  ces recits , ce qu’était réellement la vie de tous les jours dans les paysages merveilleux de  saint-rémy de provence ou je suis née,dans un vieux mas perdu au milieu des champs.malgrés ma fragilité, j’ai survécu grace à l’amour et la tendresse que mes parents m’ont constamment apporté, durant ces années difficile ou la population manquait de tout . Si je fait  publier ces textes, c’est grace à  l’enthousiasme de mes amis qui m’ont transmis leur confiance et par conséquent m’ont donné la force de perséverer, je vous demande d’etre  indulgent à mon égard car je suis loin d’etre un écrivain!!!!                     Introduction. comment ai-je pu etre aussi heureuse dans le milieu si dur que celui du monde paysant? En partageant avec eux, leur misère, le malheur, et la fatalité, qui étaient bien souvent le lot quotidien de chaque famille! Mais innocence rime avec insouciance ; le chant d’un oiseau, la vue de ces campagnes lumineuses, chassaient immédiatement le moindre sentiment de tristesse pour laisser place à l’inconscience  la jeunesse.                                                                                                Je fait partie de cette première génération qui allait profiter de tout  ce que nos parents n’avaient pas connu. La liberté de décision, Le bien etre du modernisme,le plaisir des loisirs, le temps d’apprendre, d’aimer,et de vivre. la suite  les jours prochains . Premier chapitre (la rue charles gounod) à suivre.